Sol équestre

Critères définissant la qualité d’un sol équestre

Le premier est la portance, c’est-à-dire sa capacité à supporter la contrainte du poids des chevaux et des véhicules. On améliore considérablement la portance d’un sol équestre avec les dalles de stabilisation.

Le drainage peut se faire suivant plusieurs techniques en cohérence avec l’ensemble de la structure. C’est l’assurance de pouvoir contrôler la texture du sol et donc ses qualités dynamiques. C’est également ce qui permet d’éviter aux enseignants de travailler les pieds dans la boue. Contrairement aux idées reçues elle n’est pas si bonne pour la peau, les galles de boue des chevaux travaillant dans les carrières trempées en sont la preuve.

Enfin, la texture du sol équestre qui comprend la frappe, la glissance, la tenue du pied dans les virages etc. est essentiellement fonction de la nature du sable, des fibres s’il y en a ou du revêtement de couche de travail.

Un bon arrosage permettra enfin de contribuer à cette texture et de limiter la formation de poussière.

Les dernières études scientifiques sur la qualité des sols équestres ont démontré l’importance de l’entretien du sol. En effet, une couche de travail hétérogène et compactée et d’autant plus accidentogène. Disposer de l’outil qui correspond au sol et de la technique appropriée pour le passer régulièrement et efficacement est indispensable pour que le sol équestre préserve la santé ostéo articulaire des chevaux qui s’entrainent dessus.

Aucune norme ne définit la conception de sol équestre et il est souvent difficile de trouver le bon conseil. Que cela concerne la conception, l’amendement ou l’amélioration d’un sol équestre, faites appel à notre expertise pour vous accompagner.